Prevalence and determinants of unintended pregnancy in sub–saharan Africa: A systematic review

Luchuo Engelbert Bain*, Marjolein B.M. Zweekhorst, Tjard de Cock Buning

*Corresponding author for this work

Research output: Contribution to JournalReview articleAcademicpeer-review

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Abstract

Over forty percent of pregnancies worldwide are unintended, with a quarter of these from Africa. There is a growing body of evidence regarding the adverse health, economic, societal, and developmental consequences of unintended pregnancies. The main aim of this systematic review is to report on the current prevalence and determinants of unintended pregnancies in sub-Saharan Africa. A literature search (in PubMed, Embase, PsycINFO and Scopus) was performed up to 29 May 2019. The Joanna Briggs Institute Reviewers‘ Manual guidelines to assess the quality of peer-reviewed quantitative articles were used to select articles that met our inclusion criteria. A total of 29 articles from 9 countries were included in the final review. The mean unintended pregnancy rate was 33.9%. The mean unwanted pregnancy rate was 11.2%, while the mean mistimed pregnancy rate was 22.1%. Mistimed pregnancies were more frequent across the 13 studies that classified unintended pregnancies into the unwanted and mistimed pregnancy sub-groups. Being an adolescent (19 years old or less), single, and having 5 children or more were consistent risk factors for unintended pregnancy. Awareness and use of modern contraception, level of education, socio-economic status, religion, and area of residence as independent variables were either protective or associated with an increased risk of reporting a pregnancy as being unintended. The unintended pregnancy rate in sub–Saharan Africa remains high, especially among singles, adolescents, and women with 5 or more children. There was no uniform tool used across studies to capture pregnancy intention. The studies did not capture pregnancy intention among women whose pregnancies ended up as stillbirths or abortions. More research is required to ascertain when it is best to capture pregnancy intention, and how exclusion or inclusion of pregnancies ending up as stillbirths or abortions impact reported unintended pregnancy rates.

Résumé
Plus de quarante pour cent des grossesses dans le monde ne sont pas souhaitées, dont un quart en Afrique. Il existe de plus en
plus de preuves concernant les conséquences néfastes sur la santé, l'économie, la société et le développement des grossesses non
désirées. Le principal objectif de cette revue systématique est de rendre compte de la prévalence et des déterminants actuels des
grossesses non désirées en Afrique subsaharienne. Une recherche documentaire (dans PubMed, Embase, PsycINFO et Scopus) a
été effectuée jusqu'au 29 mai 2019. Les lignes directrices du Joanna Briggs Institute Reviewers 'Manual pour évaluer la qualité
des articles quantitatifs évalués par les pairs ont été utilisées pour sélectionner les articles qui répondaient à nos critères
d'inclusion. Au total, 29 articles provenant de 9 pays ont été inclus dans l'examen final. Le taux moyen de grossesses non désirées
était de 33,9%. Le taux moyen de grossesses non désirées était de 11,2%, tandis que le taux moyen de grossesses erronées était de
22,1%. Les grossesses erronées étaient plus fréquentes dans les 13 études qui classaient les grossesses non désirées dans les sousgroupes
de grossesses non désirées et mal évaluées. Être une adolescente (19 ans ou moins), célibataire et avoir 5 enfants ou plus
étaient des facteurs de risque constants de grossesse non désirée. La connaissance et l'utilisation de la contraception moderne, le
niveau d'éducation, le statut socio-économique, la religion et le lieu de résidence en tant que variables indépendantes étaient soit
protecteurs, soit associés à un risque accru de déclarer une grossesse non désirée. Le taux de grossesses non désirées en Afrique
subsaharienne reste élevé, en particulier chez les célibataires, les adolescentes et les femmes de 5 enfants ou plus. Aucun outil
uniforme n'a été utilisé dans toutes les études pour saisir l'intention de grossesse. Les études n'ont pas saisi l'intention de
grossesse chez les femmes dont les grossesses se sont terminées par des mortinaissances ou des avortements. Des recherches
supplémentaires sont nécessaires pour déterminer quand il est préférable de saisir l'intention de la grossesse, et commentl'exclusion ou l'inclusion des grossesses se terminant par des mortinaissances ou des avortements a un impact sur les taux de
grossesses non désirées signalés.

Original languageEnglish
Pages (from-to)187-205
Number of pages19
JournalAfrican Journal of Reproductive Health
Volume24
Issue number2
DOIs
Publication statusPublished - 24 Jul 2020

Funding

LB is funded by the Erasmus Mundus Joint Doctorate Scholarship Programme. We thank Ralph de Vries, medical information specialist/literature researcher, Medical Library, Vrije Universiteit, Amsterdam, The Netherlands, for participating in the building of the search strategy and undertaking the search of the respective databases.

FundersFunder number
Ralph de Vries

    Keywords

    • Africa
    • Mistimed
    • Motherhood
    • Odds
    • Pregnancy
    • Prevalence
    • Risk factors
    • Unintended
    • Unplanned
    • Unwanted

    Fingerprint

    Dive into the research topics of 'Prevalence and determinants of unintended pregnancy in sub–saharan Africa: A systematic review'. Together they form a unique fingerprint.

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